Amer

Les yeux


Les yeux acerbes de la mort
me transpercent
Ses ombres violent mon corps
et dispersent
de mes rêves les drames
dehors la masse
enflamme et crame
mon coeur et menace
deshabille mes humeurs
 tramant mon état d'âme
demaquille mon coeur
des joies les melodrames
me consternant de peur
se déniant  de l'offense
face à  mon innocence
Où  mon esprit s'exile.
Au loin je me dessille
me pelotone
comme l'automne
cherche en ma base profonde
une source loin du monde